A propos

Ce travail long et passionnant nécessite des mises à jour constantes. Il est riche en relations humaines. Depuis 2007, date de mes premières recherches, j’ai accueilli plusieurs spécialistes et passionnés à Saint-Pabu. Ces rencontres sont ponctuées de visites sur le terrain, d’études de photographies aériennes, d’échanges de documents… Rien n’aurait été possible sans leur participation.

Les bunkers ne sont pas simplement des structures en béton, mais des pièces maîtresses d’une époque révolue. À travers ce site et la « Route des Bunkers », plongez au cœur d’un passé captivant et laissez-vous transporter par cette histoire singulière qui façonne l’identité de St. Pabu.

Tous les bunkers de la commune se trouvent sur des propriétés privées. Il est nécessaire d’obtenir l’autorisation des propriétaires avant toute visite.


Qui sommes – nous ?

En 2010, un groupe de travail composé de 9 personnes a été constitué. Toutes sont des expertes reconnues dans leurs domaines respectifs et auteures de plusieurs ouvrages. Chacune apporte son expertise sur le camp de Saint-Pabu :

– Serge Colliou, habitant de Saint-Pabu et passionné d’archéologie des bunkers, étudie et photographie ces structures depuis 2005. Il est l’auteur du livre « Les Bunkers de Saint-Pabu » et administre ce site internet. Par ailleurs, il est propriétaire des bunkers L410, FREYA et « ANTON » L479, tous deux situés à Saint-Pabu. En tant que coordinateur de ce groupe de travail, il a réussi à créer une synergie entre les différents experts, conduisant ainsi à plusieurs découvertes exceptionnelles.


– Armel Colin, vidéaste amateur, apporte son savoir-faire dans le monde de la vidéo. Il est l’auteur du film « Opération PUINGUIN » ( du nom de code de la station radar de saint Pabu)qui nous éclaire sur l’histoire incroyable et méconnue du camp de Saint-Pabu et de ses radars.


– Yves Blanchard, spécialiste du radar, a été ingénieur de recherche en sonar et radar pendant 25 ans à l’Office national d’études et de recherches aérospatiales (Onera), puis directeur technique de l’unité missile de « Thales airborne systems ». Il est l’auteur du livre « Le Radar 1904-2004, histoire d’un siècle d’innovations techniques et opérationnelles ». Il apporte son expertise sur le fonctionnement du camp et de ses radars. Nous avons validé les emplacements des radars lors de ses passages à Saint-Pabu.


– Jacques Morvan et Étienne Morin sont des experts reconnus en archéologie des bunkers. Ils m’ont prodigué de précieux conseils et informations, apportant leur savoir-faire et leur expertise dans la recherche et l’identification des bunkers. Ils ont activement contribué aux publications de ce site. Étienne Morin, précurseur, a commencé ses recherches sur le secteur dès 1996.


-Jean François Laquièze : Passionné d’archéologie des bunkers, c’est lui qui nous a tous initiés à cette discipline. Il travaille en collaboration avec le Ministère de la Culture et diverses associations d’anciens combattants.


-Hervé Farrant, historien et officier marinier à la retraite, réside à Ploudalmézeau. Passionné d’histoire, il est l’auteur d’un ouvrage retraçant la vie à Ploudalmézeau et Portsall durant la Seconde Guerre mondiale. Grâce à ses connaissances historiques et son expérience sur le terrain, il m’aide activement dans mes recherches sur Saint-Pabu. Il a également effectué des recherches sur le secteur dans les années 1980-90.


-Gildas Saouzanet est spécialisé dans la recherche des avions alliés ou allemands tombés dans le Finistère durant la Seconde Guerre mondiale. Il est l’auteur du livre « En leur mémoire 1940-1944, Histoires d’aviateurs tombés sur le Finistère ». Son expertise dans ce domaine est directement liée aux radars du camp.


-Patrick Fleuridas, Passionné d’archéologie des bunkers, il réalise des plans des bunkers à partir des relevés de terrain. Il a co-écrit plusieurs livres. Certains plans des bunkers de Saint-Pabu sont présentés dans son livre : « Constructions normalisées de l’armée de l’air », disponible directement auprès de l’auteur : kerfleu@yahoo.fr


-François Kerneis, Saint-Pabusien expatrié en Allemagne pour des raisons professionnelles. C’est lui qui traduit pour nous la documentation allemande de l’époque.